Quatre adolescents -- Cassie et son petit ami, Sean, ainsi que Matt et Annabel -- se querellent alors qu'ils roulent en voiture. Un moment de distraction suffit pour changer à jamais leur vie : leur voiture plonge dans un ravin, ce qui tue Sean. Les vacances d'été ne sont plus les mêmes et le retour en classe s'annonce des plus difficiles. Matt remet son entrée à Harvard à l'année suivante, car il se sent terriblement responsable de la mort de Sean. Ainsi il souhaite pouvoir soutenir Cassie, son ancienne flamme, qui ne se remet pas de l'accident. Elle est toujours tourmentée et dit que des choses de plus en plus étranges lui arrivent, comme des apparitions de Sean. Elle sait qu'il est mort et que son âme s'est éteinte avec lui, mais pourtant...
A thoroughly routine romantic comedy rendered more aggravating by its incessant near-miss plot structure, Serendipity gets its few pleasures not from its leads but from its often-inspired supporting cast. Once again making a bid for romantic star status, John Cusack proves that he's only as good as the material he's provided; the movie rarely allows him to show the loose, natural persona he exhibited in 2000's High Fidelity. The same can be said for Kate Beckinsale, a talented young actress whose spirit seems dulled as her character is forced to leap through numerous logistic hurtles, all in the name of chance. Serendipity's main problem isn't with the actors but their script: Since they're allowed such a brief sliver of time together at the movie's outset, it's hard for the audience to have a vested interest in whether or not they end up together at the end. Along the way, however, we're treated to a host of ancillary laughs, the best of which come from John Corbett as a trippy, dippy world-music star, and the ever-reliable Eugene Levy as an anal-retentive store clerk.
Après l'échec cuisant de Blade, les studios New Line ont eu la bonne idée de confier la réalisation du deuxième épisode des aventures sanglantes et stylisées du chasseur de vampires au réalisateur d'origine mexicaine Guillermo del Toro, remarqué pour son film d'épouvante El Espinazo del Diablo.
Aux prises avec une lignée mutante de vampires vicieux, qui se nourrissent de leurs congénères, Blade (Wesley Snipes) est obligé de conclure une alliance avec ses ennemis de toujours : les vampires eux-mêmes. Les proies deviennent alliées, mais doit-il réellement leur faire confiance ?
Les références pleuvent dans le film de Guillermo del Toro. De Alien à The Matrix, en passant par From Dusk Till Dawn et Tigre et Dragon, la parenté avec tout ce que le cinéma d'action a donné de meilleur est évidente, sans que le résultat ne soit tout à fait à la hauteur. Bien que les scènes de combat soient chorégraphiées au millimètre près, les éclairages minutieusement travaillés, les mouvements de caméra aussi souples que ceux d'un serpent, et le héros, qui ne fait ni dans la dentelle ni dans le sentiment, parfaitement en contrôle, il semble manquer quelque chose à ce Blade II en forme de bédé ultra-graphique et ultra-violente. Un peu d'âme, peut-être ?
Ile de Jersey, 1945. La Seconde Guerre Mondiale est terminée mais le marie de Grace ne rentre pas. Seule dans une immense demeure victorienne, elle élève ses enfants qui souffrent d'une étrange maladie : ils ne supportent pas la lumière du jour.
Pour tous les occupants du domaine, une seule règle vitale : la maison doit rester dans l'obscurité ; ne jamais ouvrir une fenêtre en leur présence. Cet ordre simple sera pourtant enfreint.
Dès lors, Grace, les enfants et tous ceux qui les entourent devront en supporter les conséquences.
Londres, des voleurs pénètrent par effraction dans un manoir victorien. Ils y découvrent une crypte extrêmement bien protégée. Croyant dérober un trésor des plus précieux, ils vont sans le vouloir libérer une terreur venue du fond des âges : après plusieurs décennies de sommeil, Dracula revient à la vie...
Dans un monde injuste et désespéré, gouverné par la corruption, un homme seul a le courage d'affronter le système. On l'appelle Iron Monkey. Étant incapable de mettre la main sur le rebelle, le gouvernement enlève le fils d'un maître en arts martiaux pour obliger ce dernier à traquer l'indésirable. Mais quand celui-ci apprend l'identité et les intentions d'Iron Monkey, il décide dans un coup d'éclat de se joindre au héros pour l'aider à renverser le pouvoir.
En 2029, des ordinateurs super puissants dominent la planète et ont pour but l'extermination pure et simple de la race humaine ! Pour anéantir l'avenir de l'homme, ils décident de modifier le passé et pour cela, envoient un cyborg indestructible, le Terminator (Arnold SCHWARZENEGGER), dans un voyage dans le temps. Sa mission est de tuer Sarah CONNOR (Linda HAMILTON), la femme dont l'enfant à venir deviendra le seul espoir de l'espèce humaine.
La présence de Linda Blair, Celle qui restera à jamais la Regan MacNeill de L'EXORCISTE. Elle n'est pas possédée ici. Juste aux prises avec une cousine qui vient lui marcher sur les pieds et - outrage suprême - lui pique son petit copain en lui faisant rater un bal tant attendu. Si c'est pas malheureux ! En tant qu'actrice, elle n'a pas été gâtée. Elle navigue de petit film en petit film. Allant même jusqu'à s'auto-parodier dans L'EXORCISTE EN FOLIE avec Leslie Nielsen. En dehors de quelques apparitions dans des films de plus grande envergure (SCREAM de vous savez qui...) sa carrière n'a rien d'exceptionnel. A la limite, L'ETE DE LA PEUR fait partie des meilleures choses où elle a pu apparaître.